Notre quotidien en Afrique :

Publié le par Larénie/Huet

Première nuit à Bissau dans l’hôtel Pensao Central. Nous avons changé 2 fois de chambre, la première était déjà occupée et la deuxième où nous étions bien installés était réservée (dommage il y avait un ventilateur !). Notre chambre définitive est grande, comme les précédentes, avec une armoire, un bureau, un grand et un petit lit. La salle de bain, commune à tous, est au fond du couloir, toilette, lavabo et douche mais pas d’eau courante, pour se laver une poubelle remplie d’eau et un gobelet. Surprise, l’eau est glacée, on ne s’y attendait pas. Dans ce quartier, le générateur fonctionne de 20h à 23h pour l’électricité. La chambre pour deux coûte 20000 FCFA avec le petit déjeuner, c’est à dire 200 FF. C’est un des moins chers et des plus corrects de Bissau.

 

 

 

            Arrivés à Bubaque, Bacari nous conduit à la maison de l’environnement (Casa de ambiante) où nous y installons notre QG pour les 6 mois. Nous avons une petite chambre avec deux lits superposés, un bureau et une salle de bain, avec toilette, lavabo et douche (toujours au gobelet), mais cette fois un filet d’eau sort du lavabo avec un seau en guise d’évacuation. Ici c’est le grand luxe, nous avons l’électricité toute la journée mais également le bruit du générateur toute la journée. Ainsi, nous ne sommes pas limités pour l’utilisation de l’appareil photo et de l’ordinateur. Nous pouvons y laisser nos valises tranquille le temps de nos excursions sur les autres îles de l’archipel.

 

 

 

            Sur l’île de Formosa, c’est pareil, le Bureau de Planification Côtière a une maison où nous pouvons dormir mais pas d’eau et de lumière. Sur l’île d’Orango, idem, nous pouvons dormir à la maison de passage qui se trouve à Eticoga. Pour aller voir les hippos, il faut aller à Anor, cette fois c’est la toile de tente, l’eau de toilette est plutôt douteuse (jaune et trouble) et en ce qui concerne l’eau de boisson nous avons des doutes.

 

 

 

            Les gens qui nous accueillent dans les différents villages font en sorte que l’on ne manque de rien. Pour la nourriture, nous n’avons rien pour cuire dans l’immédiat, donc ce sont les femmes des villages qui nous préparent à manger.

 

 

 

            Ici tout le monde dit bonjour à tout le monde, on a l’impression qu’ils se connaissent tous. Nos journées sont rythmées par les bonjours successifs. Cela nous change de d’habitude !

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